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Cuisine en confinement : ce qui manquent aux teamers

Teamers en cuisine, saison 1

©Instagram/munirafitnessjourney

L’épidémie a-t-elle bousculée les habitudes alimentaires des trailers ? Réalisée lors du confinement, cette première saison du podcast “Teamers en cuisine”, permet aux coureurs de nous ouvrir leur garde-manger et de nous parler des plats qui leur ont manqué pendant cette quarantaine.

Aurélien Charton: le confinement et la cuisine française

Pour Aurélien, le confinement n’a rien changé. Il cuisine toujours autant… “C’est-à-dire pas du tout”, nous confie-t-il. Le jeune homme gourmand préfère la cuisine française et n’attend qu’une seule chose à la fin de la quarantaine : pouvoir se délecter d’une bonne pièce de bœuf. 

Mickael Vosgien : le confinement et la cuisine bio

Contrairement à Aurélien, Mickaël aime particulièrement faire la cuisine, même pendant le confinement. Privilégiant le bio et les circuits courts, il a dû adapter ses habitudes d’achats aux approvisionnements pendant le confinement. Bien qu’il préfère également la cuisine française, le coureur n’est pas contre goûter quelque chose de plus exotique : il confie vouloir essayer le maté, après avoir lu l’article du site sur les vertus de cette boisson.

Maxime Leberre : le confinement et la cuisine de sa fille

Pour Maxime, le confinement a été l’occasion de tester des nouvelles recettes, et cuisiner du matin au soir. Bien qu’il cuisine habituellement seul, il en a profité pour apprendre quelques recettes de gâteau à sa fille d’un an et demi, qui commence tout juste à manipuler les ustensiles.   

Aurore Degeilh et la cuisine de sa mère

Pour Aurore, ce sont d’abord les saveurs qui sont importantes dans la cuisine. C’est pour ça qu’elle aime particulièrement les cuisines japonaise et chinoise. Pour la fin du confinement, elle rêve de retrouver le riz au lait préparé par sa mère.

Sandrine Mawart et la cuisine de ses parents

Tout comme Aurore, Sandrine a regretté de ne pas pouvoir goûter à la cuisine de sa famille, notamment les côtelettes de ses parents. L’adepte de la course se définit d’ailleurs comme une “accro à la viande”. Vous trouverez souvent du chocolat dans ses placards, ingrédient très utile pour les courses.

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